« Des équipes feront la course dans l’optique des mondiaux »

La 3e édition du Saint-Feuillien Grand Prix de Wallonie s’annonce d’un niveau élevé. Située dans le calendrier entre les championnats d’Europe et du monde, la course féminine, entre Blegny et la Citadelle de Namur, sera l’occasion d’un dernier entraînement intensif avant le rendez-vous mondial. Les deux premières éditions ont été remportées par la Belge Julie De Wilde (2022) et la Polonaise Marta Lach (2023).

Le commentaire de Ludivine Henrion

« Le Saint-Feuillien Grand Prix de Wallonie des dames est bien situé dans le calendrier cette année, puisqu’il se trouve entre le championnat d’Europe et le championnat du monde. L’Euro s’est déroulé en Belgique et on peut penser que certaines coureuses y resteront pour retrouver le parcours du GP de Wallonie. Il est vallonné, certes pas comme celui du championnat du monde mais il peut être intéressant pour peaufiner la forme avant le rendez-vous mondial. La liste des partantes est intéressante, avec, notamment, des filles qui seront clairement des outsiders à Zurich. Le niveau de course s’annonce donc élevé. On doit espérer que la météo sera de la partie et que le peloton ne sera pas confronté à un vent de face avant la descente dans la vallée de la Meuse. Mais il est tout à fait possible que des équipes voudront malgré tout faire la course et ainsi faire un bon entraînement intensif avec les ‘mondiaux’ « .

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